Саопштења за јавност - Un Depailler pour en rappeler un autre....
Un Depailler pour en rappeler un autre....
Homonyme parfait de son illustre prédécesseur, le jeune Patrick Depailler poursuit avec patience et talent son apprentissage de la F3 en disputant cette saison le championnat de France de la discipline. Fiévreux de marcher sur les traces de l’ancien pilote de Formule 1 dont il partage le nom, originaire tout comme lui de Clermont-Ferrand, le jeune Auvergnat espère bien gravir un à un les échelons de MRC et porter haut à nouveau ce nom prédestiné pour la compétition automobile.
« Ils sont de la même région, mais pas de la même ville » souligne « Vercingétorix », le manager de Patrick Depailler, qui a lui préféré adopter ce surnom singulier qui résume bien son apparence physique pour conserver son anonymat. « Oui, mais il est de Clermont alors que je suis de sa banlieue, à Chamalières » enchérit son jeune poulain. « Même si je ne suis pas de la famille de ce pilote exceptionnel, qui a connu une renommée internationale au volant de la Ligier ou de la Tyrrell à six roues, c’est un honneur de porter le même nom et le même prénom, comme mon père d’ailleurs, qui était lui aussi fan de F1. C’est d’ailleurs avec mon père que j’avais eu l'occasion de le voir d'assez près quand j'étais tout gamin, ainsi que Jacques Laffite, à la fin des années 70 sur les pistes d'essais Michelin. »
Auteur de quatre beaux succès en rookie serie pour ses débuts, Patrick Depailler a choisi de participer cette saison au championnat de France F3. « Une discipline très relevée, idéale pour apprendre et progresser. Mais quel niveau... » soupire le jeune Clermontois. « Outre Guillaume Valverde, qui réalise un début de saison fantastique, il faut aussi compter sur une incroyable liste de talentueux pilotes comme Alexandre Bugatti, Thomas Amirault, Hervé Noel, Gregory Boigard, Pierre Gasly, Valentin Cordier, Mia Burel, Manuto Havel, Pascal Salim, Florian Bidard, Matheo Clerget, Nicolas Bayle, Luc Deléglse ou encore Jeff Durand. Beaucoup de pilotes se sont déjà succédés dans le top 10... Il est très difficile de s’y faire une place, mais c’est ce qui donne autant de valeur à ce championnat. »
Après un excellent début à Dijon (6e et 7e), Patrick Depailler espère bien poursuivre sur cette belle lancée et engranger suffisamment de points pour obtenir une place de choix au classement final. « Mon souhait le plus cher est de terminer toutes mes courses sans tester la qualité du gravier » s’amuse le jeune virtuose. « J’ai connu un brin de malchance à Charade. Mais c’est le métier qui rentre. Avec mon manager Vercingétorix, on se donne le temps de faire les choses bien. J’espère que le temps nous donnera satisfaction. » Toute une région est en tout cas prête à s’enflammer et à soutenir une nouvelle légende nommée Depailler.
Bienvenue dans le Groupe Auvergne !
Merci pour Patrick, ça fait plaisir de revoir son casque. Concernant le N° 63, il est attribué depuis quelques saisons à Alexandre de Montferrand. Mais pas de problème, on ne se rencontrera pas souvent. Gagnes nous des courses et fait honneur à l...