Comunicati Stampa - Ferrari à la sauce Française !

Ferrari à la sauce Française !

Après une première approche il y a quelques saisons, les deux inséparables managers Rudy LePrez et Jules Belia ont à nouveau choisi de se lier à l’avenir de l’équipe Ferrari en Formule 1. Amoureux de l’équipe italo-slovaque, les deux compères ont remis un pied dans la structure du cheval cabré, redevenant actionnaire avant qu’un vote ne propulse Jules Belia au rang de team-manager. Une petite révolution qui, ils l’espèrent tous deux, va permettre de relancer une équipe en désarroi et mobiliser tous les passionnés de F1 en France et au-delà.

« J’avais vraiment été frustré de voir notre expérience se terminer comme cela il y a cinq saisons » admet Rudy LePrez. « C’était rageant car nous avions déjà réuni à l’époque tous les ingrédients pour dynamiser Ferrari et lui donner une nouvelle impulsion. Mais nous avions débarqué avec quatre managers français et ça n’avait pas plu. »

Un sourire aux lèvres, Jules Belia écoute religieusement son indéfectible complice. « C’est complètement vrai. Il y avait une large majorité d’actionnaires slovaques et nous n’avions pas pu leur faire comprendre que l’équipe devait s’ouvrir aux autres pour grandir. Cette fois, nous avons su réunir des sensibilités françaises mais aussi américaine, allemande, espagnole et belge… et ça a tout changé. »

Alors que l’écurie Ferrari est au plus bas, Rudy LePrez et Jules Belia savent que tout est à faire.
« Il y a du travail, mais c’est un pari fantastique. En tout cas, c’est un beau challenge qu’on a envie de relever, une aventure qui je l’espère amènera d’autres français à nous rejoindre, comme fan ou actionnaire. Tous seront les bienvenus pour vivre avec nous cette renaissance. »

Promu team-manager, Jules Belia a rapidement mesuré le travail qu’il reste à accomplir. « Dès les premières heures il a fallu réorganiser l’équipe, supprimer certains postes inutiles, en développer d’autres, recruter, réaffecter… sans parler des finances et de toutes les évolutions techniques qu’il faut planifier pour rattraper notre retard. C’est un long travail, ardu, qui nécessite du temps et de la patience. Mais on ne fait pas les choses parce que c’est simple, mais parce c’est compliqué. »

Si aucun des deux n’a l’ambition de faire une seconde formation française, ils espèrent que certains auront envie de les aider dans leur aventure.
« En France, il y a une équipe qui fonctionne bien, qui a tout gagné, qui gagne encore et qui regagnera sûrement. Ils accomplissent un travail remarquable. Nous ne lutterons pas dans la même catégorie. Mais l’aventure ici, en partant de si loin, peut aussi être belle. En tout cas, on le souhaite tous. »